• Source: DOKIMOS

    Une jeune femme de 18 ans avoue son amour pour son père et affirme qu'elle va «se marier» avec lui.

    Sudinfo.be

    Une jeune femme de 18 ans a réalisé un témoignage pour le moins déroutant dans le New York Magazine : sous couvert d’anonymat, elle avoue qu’elle noue une relation amoureuse avec son père et qu’elle souhaite se marier avec lui dans l’Etat du New Jersey, aux Etats-Unis.

    
Un mariage qui n’est pas illégal, selon la loi du New Jersey, aux Etats-Unis.

     

    Photo News/Christophe Vandercam

    Un mariage qui n’est pas illégal, selon la loi du New Jersey, aux Etats-Unis.

    Dans cette histoire incroyable publiée cette semaine dans le New York Magazine, cette jeune femme de 18 ans originaire de Great Lakes, aux Etats-Unis, explique ainsi qu’elle compte déménager dans le New Jersey car l’état de l’est du pays ne propose aucune loi interdisant l’inceste. « Nous allons déménager pour être saufs, vu que l’inceste est illégal dans bon nombre d’Etats. Je veux donc en parler », explique-t-elle.

    La demoiselle raconte son histoire : elle n’a eu que très peu de contacts avec son père entre 5 et 15 ans. L’adolescente a alors eu quelques problèmes avec sa mère biologique et est donc retournée voir son père. C’est alors qu’une « relation romantique de deux ans » a commencé entre la fille et le père.

    La jeune femme ne va pas jusqu’à expliquer quand cette relation est devenue sexuelle. Elle compte en tout cas consommer leur amour après leur mariage car la jeune femme affirme qu’ils veulent avoir des enfants, qui seraient donc nés d’un inceste.

     

    Genèse 19 v 30 à 38 à méditer...

    Image du Blog coquelico.centerblog.net

     

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  • Une horloge - SIPA

    une horloge SIPA 

    Dieu nous parle par les scientifiques via l'horloge, il est minuit moins trois..

     

     

    Réchauffement climatique, regain de tensions nucléaires … Face aux menaces actuelles, l’horloge de la fin du monde, également appelée l’horloge de l’apocalypse, a été avancée de deux minutes, à minuit moins trois, ont annoncé des scientifiques internationaux.

    Inventée en 1947, cette horloge symbolise la possibilité prochaine d’un cataclysme planétaire. Le décompte vers minuit est une analogie dénonçant les risques que court l’humanité au niveau nucléaire, écologique ou technologique, minuit représentant la fin du monde. Depuis sa création, elle est régulièrement mise à jour par les scientifiques atomistes de l’Université de Chicago. Ainsi, l’association Le Bulletin des scientifiques atomiques, qui compte dans ses rangs 18 prix Nobel, estime « très élevée la probabilité de catastrophe planétaire à moins que des mesures ne soient prises rapidement ».

    Elle n'avait pas été aussi près de minuit depuis 1984

    « Aujourd’hui, le réchauffement climatique incontrôlé et une course aux armes nucléaires résultant de la modernisation des énormes arsenaux existant représentent des menaces extraordinaires et indéniables à la survie de l’humanité », a affirmé Kennette Benedict, présidente de l’association scientifique. « Les dirigeants mondiaux n’ont pas agi avec la promptitude et l’ampleur requises pour protéger les citoyens de catastrophes potentielles », ajoute-t-elle, pour justifier l’avancement de l’aiguille. C’est la première fois depuis 1984 qu’elle est avancée aussi près de minuit, date à laquelle les tensions américano-soviétiques étaient extrêmement tendues.

    Selon Sivan Kartha, scientifique responsable du Stockholm Environment Institute, les gaz à effet de serre « ont augmenté plus rapidement depuis 2000 que depuis les trois décennies précédentes combinées », et les investissements pour l’exploitation des énergies fossiles ont dépassé mille milliards par an. En plus des centaines de milliards de dollars de subventions publiques. « Sans des réductions beaucoup plus importantes de ces gaz, le monde émettra suffisamment de dioxyde de carbone (CO2) d’ici la fin de ce siècle pour bouleverser profondément le climat terrestre », estime Richard Somerville, chercheur retraité du Scripps Institution of Oceanography à l’Université de Californie.

    Depuis sa création, l’horloge de la fin du monde a été ajustée 18 fois. En 1953, il était minuit moins deux suite à la production de la bombe à hydrogène par les Etats-Unis, et moins 17 en 1991 à la fin de la Guerre Froide.

    SOURCE/ LA DEPECHE.FR

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