Songe horloges géantes dans le ciel!

Je viens partager un songe avec vous que j'ai eu du Seigneur en novembre 2014


Je me vois chez une sœur en Christ et nous nous apprêtions à aller 
manger de la salade ensemble. Je me vois chez ses parents ; j'aperçois 
sa sœur de sang qui est aussi une sœur en Christ. Il y a divers mets sur la table : ce sont des légumes.
 
Je vois une savane, auprès de leur habitation, et j'aperçois leur mère qui est aussi une sœur en Christ.
Dans le même temps, j'ai à cœur d'acheter une gazinière pour une autre sœur en Christ qui est absente.
Ensuite je remonte une ruelle qui serait à côté de leur habitation.
Dans le ciel, je vois de magnifiques nuages, et je dis à une des sœurs qui se prénomme Esther : « prends des photos ! »
Surprise, je vois une horloge géante dans le ciel ! Qui indique minuit moins 10 minutes...
Puis  je regarde à terre et je vois un chrétien que je ne connais pas, mais 
je sais en esprit que c'est un frère en Christ. Celui-ci s'attend à une 
catastrophe. 
Je regarde encore dans le ciel, et je vois une seconde 
horloge qui indique minuit moins … ( je me rappelle pas très précisément
 du nombre de minutes) mais je  sais que l'aiguille était plus proche de minuit que de minuit moins dix.
Puis moi aussi, je sens que quelque chose va se passer, un danger approche. 
Je  vois arriver un tsunami ! Je m'accroche fort à une barre et l'eau 
envahit la ruelle où je me trouvais. J'ai juste eu le temps de prendre 
une grande inspiration et l'eau a envahi partout …

Le temps est arrivé de rechercher la sainteté, de rechercher la sanctification.

L'heure est proche et l'heure est grave! La porte peut se fermer sur toi alors que tu as passé ton temps à te préoccuper de choses vaines.

- Ce n'est plus le temps de la distraction !

- Ce n'est plus le temps de faire des compromis !

• Repens-toi de tes péchés !

Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées. A celui qui vaincra, je lui donnerai de manger de l’arbre de vie qui est dans le paradis de Dieu 

Apocalypse. 2 v 7